Une vierge à l'enfant peinte sur un œuf en bois se niche sous un arceau de joyaux floraux.
Le cœur de Marie ( Dicentra spectabilis ) offre ses hampes arquées sur lesquelles s'accrochent de belles fleurs qui prennent la forme et la couleur du cœur de Marie.
Cette icône illustre le vœu d'un monde apaisé et bienveillant tourné vers l'amour et la tendresse.
Une magnifique collection d’œufs d'oie brodés est à voir au Muséum d'Histoire Naturelle de Rouen. Les œufs sont vidés, percés d'une multitude de petits trous et brodés avec des fils de soie.
Ces merveilles ont vu le jour sous les mains expertes de Nephtalie Kahn ( 1865 - 1949 ).
Jusqu'en 1928, l'artiste utilise des œufs de pigeon, de poule et d'oie avant de se consacrer exclusivement à la broderie d’œufs d'autruche.
Un mammifère ovipare !
Ce beau spécimen d'ornithorynque ( Ornithorhynchus anatinus ) peut être observé au musée d'histoire naturelle de Londres.
C'est un monotrème ; un mammifère primitif qui pond des œufs et allaite ses petits.
L'étrange animal australien est ici présenté avec deux œufs qui sont l'une des nombreuses particularités qui le distingue des autres mammifères.
Ce couple de lapins de Pâques un peu défraîchi a été observé près de Liège en Belgique.
Il a élu domicile dans une bergerie et passe les quatre saisons à l'extérieur.
Cette situation peu confortable explique qu'il a perdu toutes ses couleurs.
On peut toutefois imaginer ces deux lagomorphes dans des habits bariolés tenant chacun un œuf aux mille couleurs et souhaitant aux gens de Joyeuses Pâques !
Voici une composition toute simple. Elle a le mérite d'évoquer spontanément le printemps.
Une ouverture circulaire est percée dans le flanc de l’œuf. D'aucuns y verront une œuvre de fainéant. Personnellement, j'emploierais plutôt le terme de minimaliste ; le but n'étant pas de faire compliqué.
Les anglophones ont une formule qui résume ce courant de pensée : Less is more, ou quand le moins peut être plus !
L'opercule détaché gît sous l'orifice béant. On voit que l'oiseau a compté les jours pendant lesquels il était emprisonné dans sa coquille. Le printemps le délivre de sa cage et nous inonde de magnifiques couleurs.