C'est le peintre flamand Joachim Beuckelaer (1533-1575 ?) qui a réalisé cette peinture intitulée "Jeune fille à la corbeille d’œufs".
Cette huile sur panneau de chêne est conservée au Musée National de Varsovie.
Présentées comme des mignardises sous cloche, ces petites coquilles cohabitent serrées les unes contre les autres.
La coquille d’œuf a été pondu par un diamant mandarin (Taeniopygia guttata) petit oiseau australien gris avec le dessous du corps blanc. Le mâle se distingue de la femelle par ses joues orange.
Trois coquilles d'escargots "maquillées" apportent une note colorée.
Enfin, un dentale (mollusque univalve vivant dans le sable des bords de mer) à la forme de défense d'éléphant complète ce tableau en un délicieux mélange terre-mer.
Encore un coup du Père Fouettard !
Quel grand malheur pour un collectionneur d’œufs de trouver l'une de ses petites merveilles éclatée au sol.
Ce bel œuf à l'effigie de Saint Nicolas désole Ted Doeuf l'égérie d'Oeufpassion.
C'est un crève-cœur pour lui de le voir ainsi brisé.
Pourquoi l'accident arrive t-il à cette période de l'année ? Le pendant du Père Noël serait-il victime de la malveillance du Père Fouettard ?!...
On trouve tout via le net. La preuve avec cette collection de petits magnets dans le thème " d'Oeufpassion".
Ils ne dépassent pas les trois centimètres carré chacun.
Ils représentent :
- une boite d’œufs blancs et bruns
- une poule qui couve ses œufs
- deux œufs cassés laissant s'épandre les contenus de chaque coquille.
Un petit rappel sur la porte du frigo pour se souvenir que les œufs se conservent de préférence hors du réfrigérateur.
La gageure était de faire entrer un paysage champêtre dans un carré de deux centimètres de côté.
Découpé dans du papier noir, puis collé au milieu d'une coquille d’œuf de poule, le motif se détache du fond blanc en une sorte d'ombre chinoise.
Un arbre, une famille de lapin, la tâche paraissait ardue. Pourtant, un artiste releva le défi et il le réussit avec brio.